supported by 17 fans who also own “Sick of it All (Finger Eleven Cover)”
I don't know about others, but I personally feel melancholic rather than depressed. The atmosphere is so thick that you can cut it with a knife, and after listening to this album (twice in a row), I can safely say that it will not end with two listens Kurt Von Jazzenhoff
supported by 17 fans who also own “Sick of it All (Finger Eleven Cover)”
La première installation d'une grande épopée tragique composée par Déhà, ce génie unique en son genre : A Fleur de Peau. Ce disque est pour plusieurs raisons un monument de DSBM. Déjà par sa composition : taillé en un seul bloc de 40 minutes, A Fleur de Peau I est d'un poids écrasant et pourtant, avec ses différentes parties et ses transitions, respire. L'angle d'approche est aussi novateur : la joie de vivre, une hypocrisie mais un mal nécessaire ; le malheur, c'est quand on le réalise... Jordan Vauvert
supported by 17 fans who also own “Sick of it All (Finger Eleven Cover)”
"La mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts" écrivait Épicure et ça reste toujours vrai : personne ne peut en faire l'expérience — sauf None, formation américaine qui en a fait son leitmotiv. Les membres du groupe sont inconnus et son premier album n'a pas de nom ; même le paysage sur la pochette est vaporeux. Si le DSBM est déjà d'une tristesse funèbre qui serre le cœur, les passages atmosphériques donnent à entendre les âmes en peine de l'autre côté du voile. Un début magistral... Jordan Vauvert
supported by 16 fans who also own “Sick of it All (Finger Eleven Cover)”
4 5 6 a été "composé à partir d'une mélodie créée en 2002" et cette précision n'est pas anodine car ce bloc tourne pour ainsi dire sur une seule mélodie, mélodie répétée, modifiée, torturée pendant trente-sept minutes. Black metal, funeral doom metal, black metal suicidaire et dépressif, post-rock et quasi rap se succèdent avec un naturel qui force non seulement le respect mais surtout l'admiration. Le chant transperce de part en part.
《 If there's a reason to live / there's a reason to die 》 Jordan Vauvert