supported by 18 fans who also own “Same Old Sufferings (Part II - Remix)”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
supported by 17 fans who also own “Same Old Sufferings (Part II - Remix)”
This was truly a revelation. I was getting started with funeral doom, working on something with my headphones on... Then came Déluge... my jaw actually dropped, I stopped what I was doing and, wide-eyed, just listened to the track, baffled and amazed. After the album was over (I never do this), I went to lay down with my headphones to enjoy it over again.
I rarely heard (and felt) this much power and emotion in an album. Until I find something better, this is my landmark for peak funeral doom. fluo
supported by 17 fans who also own “Same Old Sufferings (Part II - Remix)”
La première installation d'une grande épopée tragique composée par Déhà, ce génie unique en son genre : A Fleur de Peau. Ce disque est pour plusieurs raisons un monument de DSBM. Déjà par sa composition : taillé en un seul bloc de 40 minutes, A Fleur de Peau I est d'un poids écrasant et pourtant, avec ses différentes parties et ses transitions, respire. L'angle d'approche est aussi novateur : la joie de vivre, une hypocrisie mais un mal nécessaire ; le malheur, c'est quand on le réalise... Jordan Vauvert
supported by 17 fans who also own “Same Old Sufferings (Part II - Remix)”
4 5 6 a été "composé à partir d'une mélodie créée en 2002" et cette précision n'est pas anodine car ce bloc tourne pour ainsi dire sur une seule mélodie, mélodie répétée, modifiée, torturée pendant trente-sept minutes. Black metal, funeral doom metal, black metal suicidaire et dépressif, post-rock et quasi rap se succèdent avec un naturel qui force non seulement le respect mais surtout l'admiration. Le chant transperce de part en part.
《 If there's a reason to live / there's a reason to die 》 Jordan Vauvert