Alenda Belgium
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L. (2014 Remastered)
by Aurora Borealis
supported by 9 fans who also own “Maenda II”
Entre Yhdarl, Merda Mundi et Imber Luminis (et je pourrais en citer d'autres), Déhà aura déserté Aurora Borealis pendant cinq ans. Navigation choisie sur un océan de dépression ou noyade malgré lui dans les ténèbres ? Quoiqu'il en soit, Déhà répond à l'appel de la Lumière, omniprésente sur L. : elle est solaire ("C'è Luce Qui"), nuancée sous l'effet des orages ("Rainlight"), pure quand Déhà nous fait passer au-dessus des nuages ("I Want You to be Free"). Un post-rock d'une grande légèreté !
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supported by 9 fans who also own “Maenda II”
Quand certains veulent brosser des tableaux gigantesques, des Œuvres au Jaune ou au Noir, Aurora Borealis voit beaucoup plus petit dans Mornings et veut arracher à l'espace un instant qui ne dure environ que trente minutes (précisément la durée de cet E.P., d'ailleurs), à savoir l'arrivée de l'aube. La guitare est laissée au placard et c'est la musique ambiante qui a le beau rôle. Calme et apaisante, elle gagne en vigueur au fur et à mesure du temps. Une œuvre faite d'une douce mélancolie...
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supported by 9 fans who also own “Maenda II”
It' s amazing how Déhà with Aurora Borealis can make you melancholic and relaxed at the same time. Sad thoughts conveyed in a smile with this shape of his art, and the piano cover of IAN is simply awesome. Very intimistic and minimal, yet very deep and emotional, for sensitive people
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Deep ambient tracks that feel like swimming down into the ocean, light fading and marvelous new worlds appearing.
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Music For Abandoned Monasteries
by Various Artists
The title says it all—this is haunting music that effectively raises goosebumps with its eerie, ominous tones.
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Inspired by the ocean, the latest from Low Altitude combines field recordings with dreamy, expansive electronics.
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Aurora Borealis
by Aurora Borealis
supported by 8 fans who also own “Maenda II”
Aurora Borealis ne donne pas de nom à son premier album — une pratique qui n'est pas rare en soi — mais il ne lui donne pas de pochette ni de version physique non plus. C'est un album qui n'a pas d'écrin, qui existe en toute transparence. Et même si Déhà n'y chante pas, ce n'est pas un album désincarné, au contraire : les envolées post-rock dans sa musique ambiante sont pleines d'émotions et apportent un sentiment de bien-être par leur clarté. Tous les projets de Déhà méritent qu'on s'y attarde.
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