supported by 17 fans who also own “I Can Hear The Birds Crying”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
supported by 17 fans who also own “I Can Hear The Birds Crying”
This was truly a revelation. I was getting started with funeral doom, working on something with my headphones on... Then came Déluge... my jaw actually dropped, I stopped what I was doing and, wide-eyed, just listened to the track, baffled and amazed. After the album was over (I never do this), I went to lay down with my headphones to enjoy it over again.
I rarely heard (and felt) this much power and emotion in an album. Until I find something better, this is my landmark for peak funeral doom. fluo
supported by 14 fans who also own “I Can Hear The Birds Crying”
Déhà n'a jamais caché son admiration pour Shape of Despair et on ressent l'influence de ce groupe dans cette démo qui accompagne la naissance de Slow sobrement intitulée I. Dans ce beau morceau de funeral doom metal, c'est la dimension atmosphérique qui est la plus importante, faisant office d'ouverture, de conclusion et même d'interlude ; la guitare et la batterie sont joués avec parcimonie — ils n'apparaissent d'ailleurs qu'au bout de cinq minutes. I est un point de vue original sur le genre. Jordan Vauvert
supported by 13 fans who also own “I Can Hear The Birds Crying”
4 5 6 a été "composé à partir d'une mélodie créée en 2002" et cette précision n'est pas anodine car ce bloc tourne pour ainsi dire sur une seule mélodie, mélodie répétée, modifiée, torturée pendant trente-sept minutes. Black metal, funeral doom metal, black metal suicidaire et dépressif, post-rock et quasi rap se succèdent avec un naturel qui force non seulement le respect mais surtout l'admiration. Le chant transperce de part en part.
《 If there's a reason to live / there's a reason to die 》 Jordan Vauvert